« Face je gagne, pile tu perds! » .

Soirée gratinée dans « pièces à conviction » sur le thème de la crise financière.

Un système complètement perverti, clairement souligné par un ex-trader de Londres.

Geraint ANDERSON dénonce après s'être retiré du circuit juste avant le début de la catastrophe. Un système de bonus pour les traders qui focalise sur les réflexions à court terme. Et le comble c'est que même avec cette année noire, ils vont toucher un max à la fin de cette année.

Comme les choses se présentent, le city-boy résume bien par sa phrase, « face je gagne, pile tu perds » que les fautifs sont responsables mais pas coupables et continuent à faire n'importe quoi.

« Gaston Lagaffe », nôtre « ministre boulet » de la relance a intérêt à ne pas faire de bourdes et veiller à stopper les spéculations bancaires. Cela ne va pas être simple car tous les curseurs étant bas, de façons disproportionnées, chacun sait que le logique des boursicoteurs est d'acheter. C'est comme cela que Warren Buffett, milliardaire américain, s'est enrichi encore d'avantage en plein milieu de la tourmente.

Nos banquiers sont malades au même titre que des parieurs qu'on devrait interdire de Casino!

Tout à fait concrètement, jusqu'au mois d'août j'ai moi-même eu droit à des relances de l'écureuil pour m'inviter à faire jongler des noisettes.

Heureusement que j'ai résisté à leurs sirènes et que j'ai fermement toujours maintenu une prise de position sur la garantie du capital, quitte à perdre en rentabilité.

C'est quand même le B-A-BA, règle de base que les professionnels n'ont pas été fichus de s'appliquer à eux-mêmes!

Au moins Bernard MADOFF, l'escroc en chef expert de la pyramide de Ponzi, finira derrière les barreaux. 

On peut souligner que ce type d'échafaudage est aussi utilisé plus discrètement par divers réseaux de vente de produits ménagers à domicile et en plus souvent en visant les gens au chômage en leur faisant miroiter des gains aussi faramineux que fumeux!

Vigilance donc!